L’amusant est que l’expression « talibanes féministes » vient d’une
féministe belge, et pas n’importe laquelle : elle était présidente de sos
viol Belgique quand elle a écrit son article...
« Le parti pris idéologique des féministes talibanes prétend que la
prestation des services sexuels est le comble de l’humiliation féminine
tel un viol permanent et organisé. »
« Les féministes talibanes s’acharnent pourtant à castrer les hommes, les
culpabiliser sur leur consommation de prostituée ou de pornographie en
pénalisant ceux qui auraient recours à ce type de relation diabolique :
ces hommes qui sont nos maris, nos pères, nos frères, nos fils et nos
amis. Cette position féministe sous des auspices sécuritaires et
austères rappelle une certaine répression et censure des pratiques
sexuelles. D’autres courants féministes, plus silencieux peut être,
développent d’autres revendications notamment le dépoussiérage de la
pornographie, mieux calquée sur les fantasmes féminins. Il serait
intéressant de s’attarder aussi sur l’augmentation de l’usage des
vibromasseurs, signe moderne d’une sexualité active chez les femmes où
le plaisir est au centre de leurs préoccupations. L’augmentation des
ventes de gadgets sexuels rappelle que, les femmes aussi, ont le goût du
vice… La vertu n’a pas de sexe. Qu’on arrête de nous calomnier et de
nous culpabiliser avec ce différentialisme sexuel. »
« Ces féministes talibanes commettent l’énorme confusion entre féminité et féminisme. »
http://www.catherine-francois.be/combats/feminisme/fem_moralisatrice.htm