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Commentaire de veda

sur Le blues du journaliste citoyen


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veda veda 11 septembre 2011 12:14

Toujours une belle qualité d’analyse, de synthèse Taïké Eilée. Merci.

Autant pour ma part, je ne me sens pas isolé, seul, concernant ma vision, mon analyse du monde.

J’ai le plaisir de rencontrer des gens qui assez souvent quand on discute sont prêt à reconsidérer leurs idées s’ils ne l’ont pas fait déjà : du moins en débattre.

Peut-être justement parce que je ne revendique plus. J’ai un background de connaissance et je tolère, comprends la vision erronée des autres sans essayer de les culpabiliser. Je n’impose pas.

Comme je n’ai pas (plus) la rage, la rebellion anti-conformiste, anti-système chevillée au corps et que je me montre équilibré, heureux en général : les personnes sont prêt à considérer mon avis vu que je ne suis pas bizarre et con en général smiley Ils apprecient d’avoir le choix de décider.

Il faut laisser l’autre reconsidérer ses idées. Jamais forcer et donc respecter. Certains le feront d’autre non. J’ai une conception de le vie qui me permet de relativiser et il n’y a pas d’urgence à « l’eveil des consciences » : ça se fera en temps voulu.

Anecdote  : il y a des niveaux de sujets sensibles.

Par exemple, ma mère qui est une personne très ouverte qui comprend pas mal de chose sur le 11 septembre, l’oligarchie financière etc.. mais si je m’aventure à defendre l’iran le venezuela, la libye par exemple en depeingnant différemment leur chefs d’etat, la situation réelle etc... : elle peut m’accuser de défendre toujours des dictateurs et d’aller dans l’aveuglement, l’excès inverse.

Faut toujours se montrer poser car c’est comme ça qu’on t’ecoute. Pour Chavez je lui est montré des vidéos (La révolution ne sera pas télévisée) et elle a finalement reconsidéré son opinion smiley

Biz à tous.
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