Un témoignage parmi tant d’autres :
Enfant très fatigué, se plaignant de nausées, de douleurs effroyables au ventre et aucun diagnostic. Au final, hospitalisé pour ablation de l’appendice (si cela ne fait pas de bien...cela ne peut pas faire de mal). Que révèle la prise de sang ? Effondrement immunitaire complet ! Plus question d’opération, branle-bas de combat, valse des médecins inquiets pour interrogatoires successifs afin de suivre une piste. Le sida est même évoqué car personne ne comprend son état (c’était en 1995)... Tout se révélera négatif mais cet enfant restera presque un mois à l’hôpital le temps de se remettre tout seul de « l’inconnu ». Aucun diagnostic !
Ce n’est que des années plus tard en lisant quelques témoignages relatifs à l’imposture de la vaccination contre l’hépatite B que j’ai fait le lien avec la dernière injection reçue avant le début des symptômes qui ont conduit à l’hospitalisation.
Démontrer un lien entre un vaccin et ses effets indésirables semble une démarche presque impossible... A l’époque, les médecins n’ont pas posé de question là-dessus malgré leurs investigations poussées. Moi-même, je n’y ai pas pensé. Actuellement, les réactions seraient à peu près identiques. Comment s’étonner du manque de signalements ?
Pour la petite histoire, lorsque des années après, il a bien fallu passer par le centre de vaccinations pour l’étranger, le médecin très attentif ne l’a pas vacciné contre l’hépatite A. Pourtant il partait pour descendre un bras de l’Amazone sur un radeau.
Deux poids, deux mesures !
Donc si officiellement tout va bien, officieusement l’on sait que les effets indésirables voire dangereux pour une partie de la population, sont bien réels.
Je connais depuis une infirmière (les premières à servir de cobayes) devenue hémiplégique après cette vaccination.... Qu’on ne lui parle plus de vaccin obligatoire ou non !
De toute manière, quant à jouer à pile ou face... il appartient à chacun de prendre sa décision en toute connaissance de cause.
Vous évoquez « l’absence de notification d’atteinte démyélinisante du système nerveux central chez les enfants de moins de 5 ans ». C’est un sujet qui mériterait des recherches plus approfondies.
Quand commence la maladie ? Où finit le trouble (douleurs diffuses, rétractions musculaires...). Et concernant les troubles des apprentissages, on connaît l’importance d’une atteinte de la myéline, cela même si celle-ci n’est pas « visible ». Certains syndromes qui signent un dysfonctionnement de l’hémisphère droit plus sensible à une telle atteinte, n’ont jamais été mis en relation avec la vaccination par exemple. Vous parlez ici spécifiquement du vaccin de l’hépatite B mais le problème est plus général. Vous citez d’ailleurs l’ aluminium neurotoxique, le formaldéhyde cancérigène. On peut évoquer le thiomersal (ou thimoséral) pas nécessairement dans un vaccin.
Ex donc dans l’injection anti-D longtemps faite après l’accouchement, désormais un protocole pendant la grossesse et cela jusqu’à trois fois parfois. C’est dans cette population de femmes rhésus négatif enceintes ayant reçu plus d’une injection que l’on a constaté un taux significatif d’enfants avec des troubles apparentés ou présentant du moins, quelques signes similaires à l’autisme. Cela a vite été étouffé.
« Les chercheurs ont constaté que les enfants présentant un trouble du spectre autistique étaient deux fois plus susceptibles d’avoir une mère rhésus négatif que les enfants du groupe témoin. Chaque mère rhésus négatif d’enfant autiste avait reçu au moins une dose d’immunoglobuline contenant du thimoséral au cours de sa grossesse. Les chercheurs estiment que ces constatations »fournissent un éclairage sur la possible incidence de l’exposition anténatale au mercure chez certains enfants présentant un trouble du spectre autistique« .
Geier et Geier notent que leurs résultats sont cohérents avec ceux d’Amy Holmes et al., qui avaient révélé une plus forte occurrence de rhésus négatif chez les mères d’enfants autistes – 46% contre 9%. Cette étude de Holmes et al. réalisée en 2003 avait également révélé que les mères d’enfants autistes avaient reçu pendant leur grossesse un plus grand nombre d’injections que celles des enfants témoins.
Geier et Geier rappellent qu’à la fin des années 80 et au début des années 90, les médecins ont commencé à prescrire systématiquement des immunoglobulines à toutes les mères rhésus négatif – ce qui marquait un tournant par rapport aux pratiques précédentes qui consistaient jusque là à ne les pratiquer qu’après la naissance ou en cas de contact entre le sang de la mère et celui du fœtus (par exemple lors d’un traumatisme abdominal). Ce changement, notent-ils, coïncide avec »l’augmentation massive des troubles neurodéveloppementaux aux Etats-Unis« .
Après avoir analysé cette étude de Geier et Geier, CoMeD a formulé la conclusion suivante : »Cette nouvelle étude démontre que l’injection d’immunoglobulines Rh contenant du thimoséral pendant la grossesse augmentait de manière significative les risques d’autisme… et réfute la précédente étude [de Miles et al.] financée par Johnson & Johnson« , laboratoire fabriquant des immunoglobulines Rh(anti-D). »
Ce petit pourcentage d’enfants nés de 1989 jusqu’en 2000 à peu près, sont passés par pertes et profits. Ils ont grandi...Le thiomersal a été supprimé de beaucoup de produits y compris en France.
Suivre le devenir de tous les enfants nés à cette époque d’une mère rhésus négatif ayant subi ce nouveau protocole était très facile mais circulez, il n’y a rien à voir !
D’autre part, l’administration d’immunoglobuline anti-D n’étant pas anodine (surtout à cette période), les feuillets présentant les n° de lots sont à conserver soigneusement pour garantir leur traçabilité. Pour ces années là, vous pouvez toujours téléphoner au distributeur dont les coordonnées sont obligatoires, il n’existe plus ! Si vous remontez plus haut, c’est encore plus opaque...
Bien des pistes sont donc encore à explorer...