Résistance
« A propos du mariage homosexuel …Voyons les termes du débat. »
Pour la gauche, la société
humaine est un conglomérat informe et informel sans définition ni origine (sine generis). Par cette conception misanthropique
de la société, la gauche, engagée à promouvoir l’homosexualité dans la société
par clientélisme envers la populace homosexuelle, tronque et fausse à dessein
le débat sur le « mariage homosexuel ».
« Le mariage est une institution en nette perte de vitesse. »
Les statistiques sur le
mariage, entendu hétérosexuel, sont un
faux débat. L’effondrement des statistiques du mariage hétéro ne peuvent servir
de fondement pour le « mariage homo » ou
« l’homoparentalité » qui n’ont aucun
sens.
« Alors faisons une hypothèse. Imaginons que le problème ne
soit ni le mariage, ni les homosexuels. Mais que ce soit un débat, très vif, au sein même de la bourgeoisie. »
L’hypothèse bourgeoise est
pertinente. Elle permet de comprendre les motivations psychologiques et les
bases économiques qui fondent la nouvelle science bourgeoise, à savoir
l’homosexualité politique.
A propos du « mariage
homosexuel », quels sont les termes du vrai débat ?
Le vrai débat est de
savoir pour quelle raison la société
se doit-elle de promouvoir l’homosexualité, d’institutionnaliser
l’homosexualité, de l’inscrire sur son fronton en tant que valeur sous forme de
mariage, au même titre que l’hétérosexualité. Toutes les
discussions sur l’égalité des droits, sur la république, concernant le sujet du
« mariage homo » ne sont que des
digressions pour éviter ce vrai débat, le débat sur ce qui fonde la société.
La notion de mariage
touche à l’essence, au fondement, de la société. La forme de la société,
qu’elle soit républicaine, religieuse ou autre, est subsidiaire par rapport à
l’engendrement de la société humaine, la procréation. Le mariage, rapprochement
entre sexes différents mais complémentaires, par instinct de conservation de
l’espèce, est l’institution naturelle fondatrice de la société, l’institution
de l’origine de la société. Le mariage transcende l’institution religieuse ou
étatique.
Ce ne sont ni la religion,
ni la république, ni quelque autre forme d’organisation spirituelle ou d’Etat,
qui ont inventé le mariage. Au contraire, toutes les formes spirituelles et
étatiques d’organisation de la société, la religion et la république en
particulier, n’ont pu prospérer que sur la base du mariage, le mariage naturel,
le couple homme-femme, fondement de la société. Le mariage précède et fonde la
société. La société à son tour précède la religion et la république et non pas
l’inverse.
Ainsi donc, débattre de la
question du « mariage homosexuel » à
travers le prisme de religion ou de la république est un faux débat, une
tromperie, une escroquerie intellectuelle. Le vrai débat que suscite la
question du « mariage homosexuel » est
de répondre à la question : pour quelle raison sérieuse et impérieuse la
société doit-elle se préoccuper de promouvoir l’homosexualité, plus encore de
hisser l’homosexualité sur le même podium que l’hétérosexualité ? Sans
trancher cette question au préalable, tout le reste n’est que digression et
malveillance vis-à-vis de la société.