@ Vergnes,
de quelle démonstration parlez-vous ? Je ne vois là qu’une suite d’affirmations dont deux factuelles, et deux qui sont des considérations personnelles. Il n’y a rien à démontrer. Mais si vous n’êtes pas d’accord vous savez bien que personne ne vous interdira de le dire. Si de surcroit, vous voulez expliquer pourquoi, faites, ne vous en privez pas !
Bon, pour ne pas avoir l’air de botter en touche l’exercice qui m’est proposé, je note que cela se produit dans les divorces conflictuels. Dans les divorces paisibles, la PA est négociée. Les enfants savent que le parent n’a pas été ’condamné’ comme peut le dire parfois abusivement l’autre, à verser ladite pension ; et cette contribution n’a pas valeur de réparation d’une faute qui n’incombe pas à l’un plus qu’à l’autre.
@ tous : on pourrait faire un parallèle entre la pension alimentaire versée par un parent à celui qui a la garde des enfants avec l’impôt versé par les acteurs économiques à l’État qui a la garde, disons de la nation.
Les libéraux qui ne veulent pas payer d’impôts à l’État invoquent la raison que l’État en fait un mauvais usage. Loin de moi l’idée de dire que le parent qui a la garde des enfants fait un mauvais usage de la PA. Une comparaison est comme la plus jolie du monde, elle ne peut donner que ce qu’elle a.