@Nums : j’ai commencé à voir ce documentaire.
Au début, une vieille femme juive vivant en Israël tient les propos les plus antisémites qu’on puisse entendre (entre autres ; « les juifs sont des escrocs », « ils restent à l’étranger pour gagner de l’argent sans travailler »), propos qui dans la bouche d’un goï lui vaudrait une condamnation sans appel.
A 13 minutes, dans une agence de lutte contre l’antisémitisme à New-York (budget de ces agences, 70 millions de dollars), le journaliste demande à suivre un dossier concernant une affaire d’antisémitisme pour étoffer son reportage. On lui dit qu’il y en a eu 5 dans les deux dernières semaines. La secrétaire pianote et lui décrit les plaintes :
1) « quelqu’un qui n’a pas pu avoir de congé pour un jour férié »
2)« un professeur qui voulait un congé pour chavouot (fête juive) ».
3) « quelqu’un en école d’infirmière qui a des problèmes pour prendre des pauses ».
4) « quelqu’un qui se plaignait d’un site internet sur lequel on trouvait des propos antisémites ».
5) « quelqu’un qui se plaignait d’un article de journal, pensant qu’on y trouvait des propos antisémites »
Cette brave secrétaire, malgré toute sa bonne volonté, n’a pas pu nous montrer autre chose en 15 jours.
Et ce bureau emploie au moins 4 personnes en plein coeur de New-York.
On comprend ça, au vu de l’importance et le nombre des plaintes.
J’ai appris deux choses : comme les américains sont gavés dès l’enfance de leur supériorité incontestable sur le reste du monde, les enfants israéliens sont gavés dès le berceau de la notion que le monde entier leur en veut.
Il n’est donc pas étonnant que, devenus adultes,ils n’aient aucun scrupule à se débarrasser de leurs puissants et méchants ennemis les palestiniens.
En fait, il y a une véritable culture de la haine, avec pour leit-motiv : « ne jamais oublier, ne jamais pardonner ».
Pauvres gosses....
Comme ces enfants battus qui deviennent bourreaux sans même le réaliser, ils vont perpétuer la tradition. Jusqu’à quand ?