@Yurf_coco
Alors expliquez nous comment cela se fait ’il que se soit des économistes et non des scientifiques qui parlent du « climat » et répondent comme des « économistes » ou « financiers, sur ce qu’il faudra demain utiliser comme moyen de chauffage ou d’essence, diesel, bouffer, se vêtir etc... ?
Confondre climatologie et économie voilà ce qu’on réussi les Al Gore, GIEC et autres spéculateurs sur le buziness vert ou greenwashing la preuve :
http://www.france24.com/fr/20151012-decarboner-economie-mondiale-nouvelle-ambition-secteur-financier-cop21-climat
Pour obliger les citoyens d’acheter ou consommer ce que nous vendent les »économistes greenwashés« , on manipule les données du climat en répétant depuis des années que le Ciel va nous tomber sur la tête, ou version hollywoodienne le grand tsunami géant qui va s’abattre sur le pays entier...ET CA MARCHE !
http://www.france24.com/fr/20151012-decarboner-economie-mondiale-nouvelle-ambition-secteur-financier-cop21-climat
»Décarboner« l’économie mondiale, la nouvelle ambition du secteur financier’ »
Dans le cadre des réunions du FMI et de la Banque mondiale à Lima le
week-end dernier, le secteur financier affiche de plus en plus
d’implication dans la lutte contre le changement climatique. De bon
augure avant la COP21.
Après le secteur public, le monde financier
s’affirme à son tour comme un partenaire incontournable pour
« décarboner » l’économie mondiale. "On est vraiment au bord d’un
changement, d’un nouveau système économique bas carbone qui commence et
on voit que le secteur privé va dans cette direction, et ils vont même
plus loin que les gouvernements« , a assuré à Lima le »Monsieur climat"
de Ban Ki-moon, Janos Pasztor, lors des réunions du FMI et de la Banque
mondiale.
Plusieurs indices témoignent de cette nouvelle tendance, révèle l’ONU dans un rapport,
comme l’engagement financier des établissements bancaires
internationaux, la semaine dernière, pour soutenir des investissements
bas carbone. Leur contribution pour aider les pays développés à réunir
les 100 milliards de dollars par an pour la conférence climat à Paris
est estimée à 15 milliards de dollars chaque année. Mais la Banque
mondiale a annoncé qu’elle pourrait accroître d’un tiers son financement
en faveur du climat, le faisant passer ainsi à 16 milliards de dollars
par an. La Banque européenne d’investissement (BEI) a, elle aussi, prévu
d’augmenter son enveloppe.
"Le rôle du secteur financier est
crucial, a affirmé Rachel Kyte, responsable climat de la Banque
mondiale. Si les gouvernements envoient un signal clair sur la direction
et la vitesse de la transition, comme de chiffrer les limitations
d’émissions, le secteur financier saura qu’il peut faire des paris
gagnants à long terme dans l’économie verte." Cette mutation de la
finance doit toutefois se faire progressivement "pour éviter de
déstabiliser les marchés", précise Mark Carney, gouverneur de la Banque
d’Angleterre et président du Conseil de stabilité financière (FSB).
Approfondir le partenariat public-privé
Outre cette participation, le secteur financier - tel que Deutsche Bank
ou Axa - a aussi investi dans les « obligations vertes » - titres de dette
émis pour financer des projets environnementaux dans les transports, la
construction et l’eau. Si ce n’était qu’un concept il y a encore six
ans, leur montant s’élève cette année entre 50 et 70 milliards de
dollars.
De plus en plus d’entreprises financières utilisent
également en interne un prix du carbone fixe (afin de payer les dommages
découlant des émissions de gaz à effet de serre). Estimées à 450 cette
année, elles seraient trois fois plus nombreuses qu’en 2014.
Les
investisseurs sont aussi de plus en plus à avoir adopté l’empreinte
carbone en s’associant à la « Portfolio Decarbonization Coalition », cette
organisation qui vise à « décarboner » 100 milliards de dollars d’actifs
entre septembre 2014 et novembre 2015.
Enfin, le secteur des
assurances a aussi multiplié les efforts pour répondre aux impacts
climatiques. En 30 ans, la proportion des pertes dues au climat est
passée de 30 à 50 % dans les pays développés.
Sauf que l’ONU juge
cette économie verte émergeante certes bénéfique mais pas suffisante
pour limiter à deux degrés le réchauffement climatique d’ici 2100. "La
collaboration du monde financier avec celle du secteur public devrait
permettre d’accélérer la transition énergétique, estime Janos Pasztor.
Aux politiciens de saisir l’opportunité d’approfondir ce partenariat."
Une alliance qui serait indispensable, estiment les experts, pour
trouver un accord global sur le climat et construire un monde bas
carbone.
Voilà ! Pour une grosse arnaque il fallait de gros mensonges le GIEC
et le RCA sont les deux gros mensonges pour nous faire accepter une
nouvelle économie dite Verte ou écolo basée sur la cherté et la
rareté car vue la crise actuelle qui va pouvoir se permettre d’acheter
des voitures électriques, des bio-nourritures, et autres soit disant
vêtements écolos, maisons écolos plus chères etc... ????? QUI ?