@Luc-Laurent Salvador
Excuse-moi, Luc, je n’avais pas vu ta réponse et ta question, me voici !Tu as raison de dire que les gifles sont bonnes à prendre pour se réveiller. Mais je préfère au chaud des tu-ils de nos toi le froid des je-nous peut-être un peu courbés, et une bonne fessée dans le cul claque mieux qu’un hautain lancé de mouchoir.
« Chantal, la gouvernance mondiale des banksters, elle est déjà en place. » Comme ça, à sec, c’aurait été magnifique non ? Ma seule suggestion, c’était que s’en tenir là aurait été plus énergétique que cette suite de frottements, et c’est ce que j’ai exprimé à JC. D’ailleurs les bonnes réponses à Chantal n’ont pas manqué, et franchement je n’en ai pas de meilleure que celle de Cesar qui finit par :
« Je ne veux pas d’un Etat global. Comme le disait [le philosophe] Karl Jaspers, ce serait un cauchemar. Parce qu’il n’y aurait plus aucun endroit où fuir. Un seul Etat pour toute l’humanité serait un cadre pour le totalitarisme comme le monde n’en a pas encore vu dans ses pires cauchemars. »
Pour finir de vous répondre, je n’attends rien de personne. JC a apporté une réponse à Chantal, celle qu’il veut, et j’en ai fait autant.
Méfions-nous de ne pas nous laisser cataloguer de rêveurs ou de bisounours, de marginaux, ou comme dirait Oxmo, « [accuser] d’écrire depuis la Lune »... (oui, trolls, je ne cite que les poètes modernes)
Cet ailleurs que je pointe est en nous et j’aimerais que chacun l’en ressorte, non pour un monde de paix, de justice, mais pour un monde d’hommes et non d’humains. Je suis certain qu’un monde d’hommes qui pensent par eux-mêmes est ce paradis ou aucun vice ne peut peser. Pour le reste, l’imagination de mon individu ne compte et ne suffit pas.