« États-Unis : comment les pro-Sanders ont fait perdre Clinton »
On peut aussi présenter les choses autrement : en favorisant et faisant choisir Clinton, candidate d’un establishment attaché sans autre projet au seul maintien de ses privilèges, et par là sans autre perspective à proposer que la perpétuation et l’accentuation du marasme ambiant, c’est l’état-major démocrate qui s’est tiré une balle dans le pied.
Alors même que Sanders était porteur d’un réel projet et eut battu Trump à plate-couture, pourquoi donc ses partisans se seraient-ils mobilisés pour prolonger l’immobilisme ?
Il n’y a pas que dans notre vieille €urope que les gens en ont ras-le-bol !
« Les ténors du Parti socialiste en France semblent bien comprendre ce risque, alors qu’ils agitent déjà cette victoire de Trump pour essayer de remobiliser. Mais cela peut-il réussir en l’absence de tout projet novateur et fédérateur ? »
Poser la question, c’est déjà y répondre, non ?!
Tant en €urope qu’aux U$A, le dernier des péquenots peut au quotidien constater l’ampleur des ravages générés par 40 ans d’orthodoxie néo-libérale au bénéfice unique d’une petite élite transnationale et de ses larbins.
Que les partis $ociali$tes français et €uropéens aient trahi tant leurs peuples que les principes du Socialisme, soit !, ils ont choisi leur camp !
Qu’après s’être gavés sur la bête, ces « vendus » tremblent maintenant à la perspective de la facture présentée par les « sans-dents » pour leurs innombrables forfaitures n’est que stricte justice !
Quand toute la machinerie propagandiste des médias main-stream ne suffit
plus à duper l’électeur et le « convaincre » de continuer à prendre pour
lanternes les vessies qu’ils prétendent lui vendre, qui voudraient-ils donc , hors actionnaires du CAC40, encore mobiliser ???