Autrement dit, le marketing politique, c’est comme l’audimat : un cercle vicieux.
Tout le monde dit que les programmes sont de la merde, mais les grilles sont établies à partir de sondages que confirment les taux d’écoute. La loi du plus grand nombre nous est présentée comme LA démocratie alors qu’elle aboutit à la généralisation de la médiocrité.
Jean-Chritophe Averty disait à propos de l’audimat : « c’est comme l’eau : ça coule toujours vers le bas ». Pareil pour le marketing politique.