Le problème c’est que
les océans ne sont pas un bac étanche et
stable. Vouloir appliquer des théories brutes de dilatation, sans prendre en
compte les dizaines de paramètres difficilement mesurables ; entre autre
l’instabilité liée à la tectonique de plaques composantes le fond des océans,
mouvements volcaniques sous-marins, etc. J’ai cherché quelques études allant
dans ce sens ; j’ai trouvé une information
très récente : depuis quelques temps des chercheurs ont découvert sous la banquise polaire arctique une zone
de sources chaudes hydrothermales. Y aurait-il un lien avec le réchauffement de
l’océan ? L’étude n’en est qu’à ses débuts.
https://www.anguillesousroche.com/changement-climatique/decouverte-dun-ocean-cache-qui-se-rechauffe-sous-larctique/
Les océans offrent un
champ d’investigation dont la portée est considérable, et qui concerne la
résonance des ondes océaniques et planétaires :
celle-ci permet non seulement d’expliquer et de reproduire fidèlement la variabilité du climat à moyen et long
terme, mais également les phénomènes du type El Niño, la succession d’années sèches ou
humides observées en Europe de l’Ouest depuis les années 70 …
D’autre part, on
sait très bien que quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et
quand il fait chaud, c’est l’inverse, ils en rejettent davantage.
Les océans entrent en
résonance avec les cycles solaires et orbitaux, l’attraction de la lune et du
soleil les fait varier en permanence.
Les Océans emmagasinent de la chaleur ou au
contraire la restituent. Le principe général est connu mais les études reposent
essentiellement sur des calculs qui ne sont que des projections mathématiques
assises sur des relevés inadaptés et systématiquement pondérés.
Les océans
représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense
réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l’atmosphère.
Les océans recouvrent
les 2/3 de la planète ; ce ne sont pas des structures homogènes, il y a la
couche qui subit la température et la lumière et sous la couche de transition (thermocline)
à environ 300 mètres, les abysses dont
on ne connaît encore pas grand-chose aujourd’hui.
Alors affirmer quoique ce soit dans ces conditions, relève de
la gageure.
http://www.universalis.fr/encyclopedie/retraits-et-avancees-des-mers/3-l-influence-de-la-tectonique-globale/