Le sionisme était l’activité militante
ayant pour but la création de l’État
d’Israël. L’antisionisme est donc bien l’activité militante visant à détruire l’État d’Israël.
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@Pierre Régnier
C’est l’évidence même, et un des premiers articles parus il y a quelques jours sur cette question, un vrai tissu d’âneries, le confessait bêtement : Israêl était une « erreur » de l’histoire.
Si l’histoire est mal écrite, il paraît clair qu’il n’y a pas d’autre solution que le Tipex !
Or, c’est la solution (finale) que propose le régime islamo-nazi de l’Iran.
Je vais donc devoir répéter ce que j’ai déjà expliqué bien des fois : avant la dernière guerre, il y avait des antisémites. La plupart n’imaginaient pas la shoah. Après la guerre, beaucoup se sont mordu les doigts et ont fait d’amères réflexions sur leur connerie : ils n’avaient jamais voulu ça.
Les antisionistes viennent après la shoah, et là c’est beaucoup plus grave : ils sont antisémites, mais ils savent très bien à quoi cela peut conduire. On peut donc distinguer deux sortes d’antisémitismes :
l’antisémitisme des imbéciles qui n’aiment pas les Juifs comme on peut ne pas aimer les Belges, les Suisses, les Berrichons ou les Anglais. Pas grave : ceux-là, il n’a jamais été question de les exterminer, et on peut raconter des blagues qui se moquent des Belges, ça n’aura jamais de conséquence.
L’antisémitisme des antisionistes qui ajoute à cette imbécile passion triste une intention délibérément génocidaire. C’est cette intention génocidaire qui spécifie nécessairement l’antisionisme.