@Thierry Gourvénec
Bonjour Thierry,
Le problème de ce délire collectif c’est qu’il est très construit même dans son hypocrisie et/ou mensonge. Et son contenu est varié.
S’en prendre à l’Ivermectine comme à l’Hydroxycloroquine, interdire aux médecins de prescrire des traitements à des malades, interdire de prendre l’air, de voir du monde, nous réduire à un virus, c’est très déroutant et tellement malveillant.
Du côté des médecins qui sont pour ces mesures et le font savoir, comme du côté des médias, le délire est entretenu dans la population. Ces médecins comme ces médias ne subissent pas le délire mais le prolongent et en profitent pour être en haut de l’affiche.
Les dîners des « élites » montrent bien que ce n’était pas pour eux du délire, mais de la franche rigolade. Pas si fous que ça, en revache, ils ont maintenu le délire avec des moyens hors norme. Les Lescure, Duhamel, et autres lascars, jamais confinés et en intérieur jamais masqués.
Pas le moins du monde impactés par ce délire.
D’un autre côté, le délire est visible dans la rue, dans les grandes surfaces, je ne peux le nier quand je vois des personnes se tartiner de gel, s’écarter de vous, vous interpeller dans la rue quand le masque était obligatoire, dans les magasins pour que vous le mettiez « correctement », dans le train avec des menaces récurrentes d’expulsion si vous ne respectez pas les consignes.
Au travail, c’est la course à la seconde dose vaccinale…Je reconnais le délire puisque le vaccin et ils en sont d’accord n’empêcherait pas la contamination.
En tout cas, l’agressivité monte contre les non-vaccinés dont je fais partie en étant j’ai bien l’impression la seule désormais. C’est très anxiogène.