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Erik Gruchet

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  • Premier article le 29/03/2011
  • Modérateur depuis le 07/04/2011
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Derniers commentaires



  • Erik Gruchet 12 avril 2014 06:23

     

    Toutes mes constantes biologiques sont vérifiées très régulièrement et, ne vous en déplaise, elles sont parfaites malgré 24 ans de régime carencé !

    Mes études « inexistantes » valent bien votre bien votre fatuité de science infuse et justifiée par aucune référence.

    Détrompez vous mais un repas frugal, des jus de fruits et de légumes centrifugés ( je vous recommande tout particulièrement carotte, pomme, gingembre frais), la consommations de noix, noisette, graines germées, choux et autres verdures variées permettent la composition de nombreuses recettes délicieuses et parfaitement digestes. Aucun coup de barre ne suit ce genre de repas contrairement à celui que vous devez obligatoirement rencontrer après l’ingestion d’une côte de bœuf et de frite, coup de barre compensé par un ou deux café pour tenir éveiller dans ce monde stressé que vous vivez.

    Quand à vos réflexions tout aussi arbitraire sur l’église de je ne sais quoi je vous invite à lire mes articles, tous disponibles sur mon blog germedeconscience.unblog.fr , et en particulier celui intitulé « l’indigence programmée de la foi » pour vous rendre compte que vous faites complètement fausse route sur les motivations de l’individu que vous répond.



  • Erik Gruchet 11 avril 2014 05:42

    P.S : Je suis moi même végétarien depuis 1990 sans aucune exception est je me porte très bien pour mes 50 ans, merci.



  • Erik Gruchet 11 avril 2014 05:39

    Une étude inédite par son ampleur et la diversité des personnes suivies tend à confirmer l’effet bénéfique d’un régime végétarien. De 2002 à 2007, des médecins ont suivi environ 73 300 membres de la communauté religieuse de « l’Église adventiste du septième jour » où le végétarisme est prôné. Comme tous ses membres ne respectent pas rigoureusement ce mode d’alimentation, il a été possible de différencier l’incidence des différents types de régime alimentaire sur la mortalité. Résultat : « les végétariens ayant participé à l’étude ont subi 12% de mortalité en moins sur la période de l’étude par rapport aux personnes mangeant de la viande. La probabilité de mourir d’une maladie cardiaque a été également inférieure de 19 % dans ce groupe. En revanche, le risque de cancer fut le même », précisent les chercheurs. Au total, 2570 personnes sont mortes pendant le suivi qui a duré 5,79 ans exactement. Le ratio ajusté de risque de mortalité, toutes causes confondues, entre tous les types de végétariens et les non végétariens est 0,88. C’est-à-dire que pour une personne morte qui n’était pas végétarienne, il y a 0,88 « mort » végétarien. Ces rapports différent légèrement en fonction du régime suivi : 0,85 pour les végétaliens (uniquement fruits et légumes, aucun produit alimentaire issu du monde animal) 0,91 pour les lacto-ovo-lacto-végétariens (les végétariens qui acceptent le lait et les œufs dans leur alimentation) 0,81 pour les pesco-végétariens (les végétariens qui acceptent le poisson et les fruits de mer dans leur alimentation) 0,92 chez les semi-végétariens (les végétariens qui mangent de la viande au moins une fois par mois mais moins d’une fois par semaine) De plus, « les morts liées au diabète et aux insuffisances rénales dans le groupe étudié ont été aussi moins importantes ». Cette étude, tend à montrer, une nouvelle fois, qu’un régime alimentaire majoritairement basé sur les fruits et les légumes a un effet protecteur pour la santé. Et ceci, notamment chez les hommes, plus que chez les femmes où la différence n’est pas aussi significative. Notons que l’apport énergétique ne semble pas avoir influencé ce bilan puisque les différents groupes de personnes (végétariens ou non) consommaient généralement autour de la même quantité de calories par jour.

    Source : Vegetarian Dietary Patterns and Mortality in Adventist Health Study 2 ; Michael J. Orlich, MD ; Pramil N Singh, DrPH ; Joan Sabaté, MD, DrPH ; Karen Jaceldo-Siegl, DrPH ; Jing Fan, MS ; Synnove Knutsen, MD, PhD ; W. Lawrence Beeson, DrPH ; Gary E. Fraser, MBchB, PhD - JAMA Intern Med. 2013 ;():1-8. doi:10.1001/jamainternmed.2013.6473.



  • Erik Gruchet 10 avril 2014 11:12

    L’Inde est le pays du monde qui compte le plus de végétariens, environ 450 millions de personnes, soit près de 40% de sa population. Dans la région du Gujarat, lieu de naissance de Gandhi, 80% des habitants sont végétariens, ce qui en fait l’état le plus végétarien au monde.  

    En dépit des affirmations péremptoires gratuites et sans fondement de MdeP ils ne sont pas tous carencés et dégénérés !



  • Erik Gruchet 10 avril 2014 10:59

    Entre 2000 et 2009, le taux de prévalence du diabète en France n’a cessé d’augmenter. Il a même progressé plus vite que prévu. En 2009, on estime à plus de 3,5 millions le nombre de personnes atteintes, des chiffres attendus normalement pour 2016. Ils témoignent d’une véritable croissance de l’épidémie. En ligne de mire, comme causes principales du diabète : surpoids, obésité, mauvaise alimentation, sédentarité et faible activité physique.

    Les taux de prévalence les plus élevés en France sont toujours en outre-mer. Chez moi sur l’île de la Réunion il est de  8,8% .Fait marquant, à l’inverse de la métropole, les femmes sont plus touchées par le diabète entre outre-mer que les hommes. Ici lles canons de beauté restent des femmes aux très fortes poitrines et aux très fortes hanches. L’alimentation est passée en 40 ans d’une alimentation riz, fruits, légumes sec, verdure et viande une ou deux fois par semaine à une alimentation carnée cuite en sauce grasse 3 fois par jours de même qu’une consommation effrénée de soda riche en sucre raffiné.

    Cette disparité géographique n’est pas sans traduire des différences sociales. Plus on est pauvre, plus on est touché par le diabète. Sur un périmètre limité, les chiffres sont sans appel : en Seine-Saint Denis, le taux de prévalence en 2009 est de 5.8%, alors qu’à Paris, il est de 3,2%. L’étude de l’INVS préconise une maîtrise de l’offre alimentaire, le maintien d’un niveau d’activité physique raisonnable et des politiques ciblées, notamment pour les plus de 60 ans et dans les zones géographiques les plus touchées. « Les solutions à cette épidémie passent par une stabilisation du surpoids et de l’obésité », conclut-elle.

     Sources : Institut de Veille Sanitaire, Bulletin épidémiologique hebdomadaire (9 novembre 2010/n°42-43)

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