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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 27 novembre 14:59

    l’antisémitisme, un outil au service du sionisme et de son idéal du grand Israël, fondée sur le génocide des palestiniens



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 novembre 20:45

    Barrau est un illuminé sans doute animé de bonnes intentions, mais qui confond le marteau et la main qui le tient et là, pour un scientifique c’est impardonnable.

    La science est un outil dont l’usage dépend de celui ou ceux qui en ont le contrôle.

    Or, ce n’est certainement pas le grand nombre qui en a le contrôle, vu qu’il est pour ce petit nombre qui le fait travailler, est nourri par lui et le gouverne, (dixit Voltaire) un simple outil dont la seule question qui le tracasse à l’heure actuelle est de savoir comment mettre à la déchetterie toute la masse devenue obsolète. Leurs calculs disant que seulement 20 voir 10% de cette population est suffisante pour accomplir les tâches nécessaires à les nourrir.

    entre la guerre et les épidémies, leur coeur balance ! Le problème de la guerre, c’est l’arme nucléaire, quant aux épidémies, encore faut il en être soi même immunisée. Mais les scientifiques y travaillent sans relâche et ils finiront bien par trouver l’arme fatale. Mais rien est moins sûr que cela ne fonctionne pas aussi sur eux. Donc, c’est compliqué ! En attendant, continuer à diviser les peuples c’est garantir sa propre nécessité en tant que chef, c’est là l’essentiel.

    Autrement dit, vous pouvez disserter autant que vous voulez, tant que vous ne désignez pas la main qui tient l’outil, vous prendrez toujours des coups la tête et le dindon de la farce.

    C’est ce que ce pauvre Aurélien à la lecture de l’introduction ne semble toujours pas comprendre.



  • Hervé Hum Hervé Hum 18 novembre 18:22

    @Michel J. Cuny

    La définition du mérite est celle de l’estime, de la reconnaissance d’autrui vis à vis de votre action et de sa récompense.

    L’apostilleur, nous dit une chose et son contraire, exactement comme le font tous les thuriféraires du capitalisme. Dans un commentaire il dit être contre le mérite et dans le suivant, il le défend se prenant en exemple. Il nous dit que le salaire n’est pas un dû, pour ensuite dire que le sien était un dû en raison de son mérite !!!

    En économie collectiviste, ce qu’est fondamentalement l’économie capitaliste puisque sans ouvriers, pas de production industrielle d’aucune sorte, la différence portant sur la répartition de la richesse produite (tous domaines confondues), c’est donc toujours le même et uniquement argument du mérite qui doit décider.

    Mais voilà, l’apostilleur s’emmêle les pinceaux, parce qu’il ne peut pas éviter l’aporie de son raisonnement, c’est à dire, défendre le mérite personnel et en même temps défendre l’exploitation du mérite personnel d’autrui à son profit. Les deux sont antinomique et tout l’art des capitalistes est alors de savoir donner l’illusion de la récompense du mérite personnel vis à vis d’eux même est la seule qui ait de la valeur et donc, il est exclu que ce mérite soit calculé vis à vis de l’ensemble de la communauté.

    Bref, chez ce cher Ricardo comme pour l’apostilleur ’ouvrier en tant que réduit à la fonction machine, donc, au même rang que le cheval, ne saurait entrer dans le calcul du profit, mais uniquement pour le calcul du coût de production.



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 novembre 17:55

    Quel est le point commun entre toutes les théories économiques et les économistes qui les ont portées ?

    Toutes affirment fonder leur jugement de valeur éthique sur le principe du mérite.

    le problème étant que pour tous les théoriciens de l’économie capitaliste, on passe très vite du mérite personnel à l’exploitation du mérite personnel d’autrui, sans cela, il n’y aurait plus de capitalisme possible, puisque fondé exclusivement sur la prédation du mérite d’autrui à son profit.

    Fondamentalement, c’est à dire dans ses conditions d’existences, un principe est invariant, quelle que soit l’échelle, le domaine ou ici, l’époque.

    Donc, qu’on soit à l’époque de babylonienne, romaine, moyenâgeuse, jusqu’à aujourd’hui, le principe reste le même, seule la forme a évoluée et donc, la manière de présenter la chose.

    Ainsi, il n’y a aucune différence entre un Adam Smith, Marx, Ricardo, Picketti quant au fait que toute la valeur d’une production repose exclusivement sur la quantité de travail qu’elle nécessite. Car on a jamais encore payé un animal ou un arbre, un fruit, etc, en échange de son travail. C’est absurde !

    Bref, tout l’art du capitaliste qui n’est autre que le prédateur à l’échelle humaine dont la puissance de prédation est d’autant décuplé que la supériorité cognitive humaine le permet, consiste à savoir manipuler la nature protectrice qui est au niveau animal l’herbivore, c’est à dire, celui qui se nourrit exclusivement de son propre travail. Car à t’on déjà vu un herbivore se nourrir de l’herbe de son voisin ?

    Non, seuls les prédateurs (capitalistes propriétaires), les charognes (les opportunistes) et les parasites (le fameux lumpum prolétariat) se nourrissent de l’herbivore et accessoirement entre eux.

    Or, il se trouve que le roi de la savanne et du monde animai en général n’est pas le lion ou le prédateur, mais l’herbivore.

    Et là encore ,tout l’art des prédateurs humains est de savoir le lui faire oublier et il a sa disposition une seule arme, pas deux, une seule et unique moyen.

    L’état d’urgence permanent, en menace ou en guerre. Que ce soit sur le plan économique ou militaire et même religieux.

    Bref, ce sont fondamentalement des pompiers pyromanes pour qui la paix est un interdit fondamental.

    Le hic étant alors de confier systématiquement le pouvoir à des pompiers pyromanes.

    Mais s’il n’y avait que cela, malheureusement, la confusion règne en maître partout et le pire n’est pas tant ceux qui se taisent, mais ceux qui font tant de bruit tout en prétendant dénoncer ces prédateurs, ne cessent de les soutenir.

    C’est à dire, ceux qu’on appelle les idiots utiles

    Mais une chose est certaine, hors le principe du mérite personnel, il ne peut pas y avoir d’équité sociale et économique. Sauf que par définition, le mérite personnel interdit de s’approprier celui d’autrui à son profit.

    Je vais continuer la lecture de vos articles...



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 octobre 09:17

    @Mustik

    certainement pas, car pour éviter une guerre civile de l’intérieur, le seul recours est de provoquer une guerre extérieure dans l’espoir de ressouder l’unité nationale et couper court à la guerre civile.

    Donc, la planète risque bel et bien de s’embraser pour de bon à ce moment là.

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