La genèse des nombres premiers
Comme le titre l'indique, le sujet de l'article porte sur l'étude particulière de ce qu'est la suite ou droite des nombres entiers naturels, donc ayant 1 pour incrémentation. Une telle droite est déjà bien connu et traitée par les mathématiciens depuis plus de 2 500 ans. Pourtant, une telle droite conserve une part de mystère à travers les nombres premiers, dont les mathémaciens ne comprennent pas son mécanisme d'apparition sur la droite. Du moins jusqu'à aujourd'hui pour le grand public, s'il est vrai que le mathématicien Mr Shinichi Mochizuki de l'université de Kyoto à découvert le mystère. Ne connaissant pas son contenu et ne pouvant de toute façon pas en juger en raison de mon faible niveau en mathématique (brevet des collèges), je ne parlerai donc que de ma propre démonstration ci-dessous.
Du fait de mes lacunes en mathématique, il n'est pas question pour moi de faire appel à des équations ou théorèmes dont je n'ai aucune maîtrise, et qui nuirait à la compréhension de ma démonstration. L'article est donc accéssible à tous, sous réserve de comprendre mon propre langage. Mais le tableau situé en fin de l'article et un dessin permet seuls de comprendre ce qui va être développé.
Pour terminer, je dirai que le but n'est pas de refonder les mathématiques, j'en suis bien incapable, mais de ce que cette découverte peut avoir comme conséquence sur les autres domaines que sont la philosophie, la religion, l'économie et même la physique. En raison de la longueur et de la lourdeur de l'article, ces conséquences, telles que je les perçoient, ne seront pas abordé ici.
Pour commencer, petit rappel sur la définition communément admise de la droite des nombres entiers naturels par le théorème fondamental de l'arithmétique. J'ai volontairement omis de parler du théorème des nombres premiers, car il fait appel à une formule mathématique et parce qu'il n'est pas utile à la démonstration.
Tout nombre entier naturel est décomposable de façon unique en produit de ses diviseurs premiers. Sans compter les permutations.
Ou bien,
Un nombre premier est un entier naturel qui admet exactement deux diviseurs distincts entiers et positifs (qui sont alors 1 et lui-même).
Compris dans le sens "les nombres premiers sont les briques de construction des nombres entiers."
Ceci est exact bien évidemment, mais incomplet. En effet, si la droite formée par les nombres entiers naturels est la somme de ses nombres premiers, encore faut il déterminer si les nombres premiers ne concernent que la division.
Nous voyons très clairement ici, que la droite des nombre entiers naturels est réduite à l'expression de ses nombres premiers, tels que définis, c'est à dire n'ayant pour diviseur que 1 et lui même. On peut donc ne considérer de la droite des nombres entiers naturels, que les nombres entiers premiers en opération de division, puisque tous les autres nombres sont des multiples des nombres premiers considérés. On peut donc écrire la droite de la manière suivante :
1 ; 2 ; 3 : (2*2 ou 2exp2), 5, (2*3), 7, (2*2*2 ou 2exp3) ; (3*3 ou 3exp2), (2*5) ; 11 ; etc.
Donc, voir les nombres non premiers comme des simplifications d'écritures des produits des nombres premiers entre eux. Cette définition marche parfaitement pour les opérations de division et multiplications, mais est ce toujours le cas pour les opérations d'additions et de soustractions ?
La réponse triviale est non. En effet, la factorisation de nombres entiers en nombres premiers n'est possible que pour les opérations de divisions et de multiplications (DM), mais pas pour les additions et soustractions (AS).
En fait, pour les opérations d'additions et de soustractions (AS), tous les nombres entiers naturels de la droite sont premiers. Cette affirmation est triviale et se démontre par le simple fait que l'addition consiste à ajouter un nombre à un autre nombre, donc toujours une part entière et jamais une fraction d'entier (dit non factorisable). Autrement dit, on ne peut fractionner un nombre entier à partir des opérations AS, contrairement à l'opération de division qui est la seule à pouvoir fractionner un nombre entier quelconque, premier ou non.
Par ce raisonnement trivial, je viens de montrer qu'on peut ne pas considérer les opérations AS sur le même plan que les opérations DM, du point de vue des nombres premiers, alors même que c'est la base du théorème fondamental de l'arithmétique. La conséquence est qu'on peut séparer ces quatres opérations en deux ensembles, avec d'une part l'addition et la soustraction et d'autre part la division et la multiplication, pour étudier au plus près leurs actions sur la droite des nombres entiers naturels dénommée matrice 1. Ce qui équivaut à établir deux sous droites, celle considérant les opérations AS et celle considérant les opérations DM en fonction de leur propres nombres premiers.
Mais avant de voir cela, revenons un instant sur la matrice 1 en elle même et ce qu'on peut en dire déjà.
La matrice des entiers naturels, commence par 0 et se “trace” par incrémentation du nombre 1. Ce nombre 1 est défini comme “l'unité quantique de référence” (uqr), c'est à dire, qu'il n'est pas fractionnable en entité inférieure pour cette droite. Le 0 représente la valeur du vide ou de l'infini, d'où commence la quantification de l'unité de référence. L'unité quantique de référence est donc borné par 0 et 1 et seulement par eux. De telle sorte que la matrice des entiers naturels peut se voir comme ne contenant que des uqr. Une infinité virtuelle de 1, bornés entre eux par 0 (ce dernier étant sous-jacent entre chaque uqr). On vient de voir deux choses fondamentales, que la droite est une création (partant de 0) et que cette création admet un déterminisme physique (le fait seul de penser un nombre lui confère une valeur propre) en raison de l'unité quantique de référence 1 (valeur quantifié). Donc, quelle que soit la valeur donné à l'uqr, celle ci prend toujours la valeur 1, est centré (débute) en 0, quantifié et de direction +1 (uqr) à partir de 0. La suite des nombres entiers naturels commençant par 0 n'est pas incrée, mais bien une création en "part entière".
Suivant cette approche on peut maintenant distinguer la matrice 1 de trois façons :
la droite des uqr, ou droite dite "primitive" des nombres de la matrice, tous identiques de valeur 1. Cette droite est la matrice 1.
La droite des opérations AS, ou des opérateurs AS de la matrice 1, où tous les nombres entiers (opérateurs donc), sont premiers, (démonstration ci dessous). Cette droite s'appellera, "indicatrice de temps T" ou iT.
La droite des opérations DM ou des opérateurs DM de la matrice 1, révélés par l'indicatrice de temps T ou iT (explication plus bas), où n'apparaît que les nombres entiers uniquement divisibles par eux même, car ce sont les seuls premiers (tout nombre entier naturel est divisible par 1 sauf 0). Ici, 1 n'est pas premier, car il est la matrice elle même. Autrement dit, parce qu'il est la matrice, le nombre 1 ne se divise pas par lui même.
Ainsi, de manière triviale, nous venons de voir que la droite des entiers naturels n'admet pas une seule manière de considérer un nombre comme premier, mais qu'un nombre peut être premier dans un cas et ne pas l'être dans un autre. Nous allons faire une première approche pour voir comment ils s'harmonisent et se complètent entre eux.
La meilleure manière de voir comment ces différents nombres premiers s'accordent entre eux est de mettre en parallèle ces différentes formes de droites.
Droite considérant seulement les uqr, appelé matrice 1 :
1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ;1; etc
Droite ne considérant que les opérations AS appelé indicatrice de temps T ou iT :
1 ;2; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9 ; 10 ; 11 ; 12 ; 13 ; 14 ; 15 ; 16 ; 17 ; 18 ; 19 ; etc
droite ne considérant que les opérations DM, appelé espace E :
1 ; 2 ; 3 ; (2*2) ; 5 ; (2*3) ; 7 ; (2*2*2) ; (3*3) ; (2*5) ; 11 ; (3*2*2) ; 13 ; (2*7) ; (3*5) ; (2*2*2*2) ; 17 ; (2*3*3) ; 19 ; etc
Il apparaît clairement que nous ne considérons usuellement que l'indicatrice iT, les deux autres formes de la droite des entiers naturels sont confondus dans la première.
Description des différentes formes de la droite des entiers naturels.
D'abord la droite des uqr ou matrice 1, comme vu plus haut, on peut considérer que cette droite où n'apparaît que l'uqr 1, est la forme “primitive” de la droite des entiers naturels.
Fondamentalement, l'unité quantique de référence est le seul nombre de la matrice 1, puisque tous les nombres entiers, représentent la somme des uqr de la droite primitive, à un moment t partant de 0. On peut désigner l'uqr, par le terme de “nombre matriciel” et sa droite, matrice des opérations arithmétiques.
La matrice 1, est donc la droite axiomatique des deux autres formes de droites. C'est l'axe des uqr, nombres matriciels, de centre de départ imaginaire 0 et d'incrémentation 1.
L'indicatrice de temps iT
La droite des additions et des soustractions est situé sur la matrice, car elle exprime la matérialisation des nombres premiers par addition, que sont tous les nombres entiers naturels.
En AS, tous les nombres entiers respectent le principe de divisibilité des nombres premiers par division. Ils ne sont divisible que par eux même et 1 (uqr de la matrice 1) parce que c'est la seule opération de DM qui ne change pas l'ordre des nombres d'iT. En effet, on a seulement le nombre premier lui même, et lui seul, avec l'uqr de la de la matrice 1.
exemle : 8 / 1 = 8 et 8 / 8 = 1 (pour rappel, on ne peut pas factoriser un nombre par addition ou soustraction !)
L'indicatrice T, est une "multiplication d'additions" d'uqr, où chaque résultat donne, crée un nombre premier, et, comme il s'agit d'un évolution régulière de la multiplication d'additions, on peut y voir comme le décompte d'un temps t, car avec une évolution linéaire de même unité quantique de référence. Cependant, si je la nomme indicatrice de temps t, c'est en raison de la droite des divisions et multiplications pour trouver ses nombres premiers.
La droite d'espace E
Peut être vous demandiez vous quel intérêt de la matrice ? C'est maintenant qu'elle prend tout son sens. Qu'est ce donc la matrice ? Une suite de 1, unité quantique de référence, de telle sorte qu'on à affaire à un axe linéaire et non une suite croissante comme l'addition. Mais une suite linéaire non croissante à une fréquence 1 sur elle même, alors que la suite de l'addition à une fréquence de 1 en 1, de 2 en 2, de 3 en 3. Autrement dit, si les deux suites sont linéaires, la suite de 1 n'est pas égale à la suite de l'addition, car une est de fréquence 1 et l'autre de fréquence croissante.
La conséquence qu'elles soient toutes les deux linéaires, est qu'on ne voit pas l'intérêt de considérer la matrice, puisque ce qu'on recherche c'est l'addition !
Cela paraît idiot, mais c'est la raison pour laquelle on ne voit pas que la multiplication fonctionne relativement à la matrice et non relativement à la droite des additions.
Donc, autour d'un axe et non le long de l'axe comme l'addition.
Les nombres premiers de la droite des divisions ne sautent pas sur la matrice, car c'est ce que fait déjà l'addition, ils tournent autour de la matrice, autour de l'axe que constitue la matrice.
Les nombres premiers diviseurs sont des "additions de multiplications" , où les nombres premiers apparaîssent comme des coordonnés d'espaces dans un mouvement rotatif le long de la matrice. Et c'est exactement ce mouvement rotatif avançant autour de la matrice, qui explique l'apparition des nombres premiers sur la droite E. En effet, un nouveau nombre premier sur E est crée quand aucun des nombres premiers de E qui le précède, ne boucle son cycle de rotation au moment t de création d'un nouveau nombre premier de la droite iT, sur l'axe formé par la matrice.
ex : moment t de l'axe matrice relevé sur la droite iT = 7 soit, 7/2 = 3,5 ; 7/3 = 2.33 et 7/5 = 1,4 ; donc, avec aucun des nombres premiers qui le précède bouclant son cycle. Le nombre 7 rajoute une spirale translative autour de l'axe matrice, arrêté au moment t de la matrice, relevé sur la droite iT. Un nombre premier est rajouté à la droite E.
Nous pouvons vérifier par le calcul que le moment tx de la matrice défini par le nombre correspondant sur iT, n'est pas premier (p), si une seule division tx/p de tous les p précédents de la droite E, est égale à 1. S'il y a plusieurs résultats d'entiers des divisions tx/p, alors tx est égal au produit des p entiers de la droite E.
Si toutes les division tx/p, sont inférieure à 1, alors, tx = p, nouveau nombre premier diviseur. Un nouveau cycle d'incrémentation d'uqr, autour de l'axe M (Matrice donc) et de durée égale au moment t relevé sur la droite iT, est crée sur la droite E.
Ainsi, chaque nouveau nombre premier de la droite E ou premier diviseur, est une unité quantique complétant la suite "non bouclée" des nombres premiers diviseurs qui le précède, et de ce fait est un nouveau premier diviseur. Chaque nouveau nombre premier diviseur, modifie la relation de rotation entre tous les nombres premiers diviseurs qui le précède (excepté le nombre premier deux et 3), de l'unité quantique de référence. Autrement dit, a part 2 et 3 (devinez pourquoi !), tous les p diviseurs agissent à la manière des aiguilles d'une horloge universelle, tournant relativement les unes aux autres.
Ainsi, tous les nombres p diviseurs passent sur la matrice, ou moment cyclique, chaque fois qu'ils bouclent un cycle de valeur égale à leur position première au moment t de la matrice, relevé sur la droite iT
(ex : 5 repasse une fois de plus en 10=2*5, puis pour la troisième fois en 15=3*5, etc).
Lorsque deux nombre boucles leur cycle en même temps, ils se multiplient entre eux.
La représentation tridimensionnelle de la droite E, est celle d'un axe autour duquel gravitent des points, avançant tous parallèlement à l'axe et à la même vitesse, mais tous de taille différentes, de la plus petite à la plus grande.
On peut alors écrire le théorème suivant :
La droite des nombres entiers naturels, est la représentation unidimensionnelle d'une structure quadridimensionnelle, unique, d'espace-temps.
Si maintenant on compare les droites entres elles, on s'aperçoit qu'elles sont intriquées. La naissance de la matrice entraîne de facto la droite iT, qui permet celle de la droite E. Autrement dit, la droite E nécessite la droite iT pour exister et la droite IT de nécessiter la matrice. Sachant que la matrice n'est axiomatique et matricielle que relativement aux droites iT et E.
Ce qui correspond bien à la naissance de notre conscience des nombres, puisque la première chose que nos ancêtres ont pu faire, c'est de ne considérer que les 1 d'une manière "primitive" c'est à dire, en comptant 1+1 = un peu. Poser l'égalité 1+1 = 2, donne naissance au nombre premier 2 sur la droite iT. Ce n'est qu'une fois admis la droite iT que se découvre la droite E avec ses nombres premiers. La matrice est bien axiomatique des droites iT et E.
En résumé, nous avons une droite crée à partir de 0 et 1 et évoluant en deux étapes par ses opérateurs.
La matrice apparaît, jaillit de nature corpusculaire, défini mais indéterminée (moment t non déterminé).
La droite iT apparaît aussi de nature copusculaire, elle défini le moment t de la matrice, mais n'est pas spatiale.
La droite E apparaît de nature ondulatoire (permetttant les interférences et les fractions), elle défini son espace, mais en s'appuyant sur la droite iT, indicatrice de temps t, pour définir les moments t de son évolution, le long de l'axe formé par la matrice.
Quelques remarques supplémentaires, non exhaustives :
L'objet d'un nombre premier est donc d'occuper l'espace vacant laissé par les nombres premiers le précédent, lorsqu'aucun d'eux n'a bouclé son cycle de rotation autour de l'axe formé par la matrice. Une fois crée, ce nombre agit. Ainsi, si le nombre 1 est l'axe de la matrice, le nombre premier diviseur 2 occupe l'espace relatif à sa position sur la droite, soit, 1/2 = 0,5 ou la moitié de l'espace de la matrice. les autres nombres occupant l'autre moitié. Ainsi, le moment t de l'axe M, relevé sur l'indicatrice iT, correspond à l'espace qu'il occupe autour de l'axe de la matrice.
On voit donc que les nombres premiers diviseurs ont pour but de définir l'espace autour de la matrice au fur et à mesure de son avancement dans le temps, représenté par iT, droite des additions. Les multiples dans E, sont simplement des nombres p diviseurs ayant bouclé leur cycle ou moment cyclique. En effet, 4 c'est 2*2 ou 2exp2. Le nombre 4 n'est premier que dans iT. Si on garde 4 dans la droite E c'est par commodité évidente.
Maintenant, si on considère les deux premiers nombres premiers diviseurs que sont 2 et 3 cela nous donne le rapport suivant :
1/2 + 1/3 = 5/6, auquel il faut retrancher leurs interférences qui est le résultat de leur produit, soit, 6
ce qui nous donne, 1/2 +1/3 - 1/6 = 3/6+2/6 - 1/6 = 5/6-1/6 = 4/6 = 2/3
Si on rajoute le nombre premier 5 qui suit, cela nous donne ;
2/3+1/5 - 1/10-1/15 = 20/30+6/30 – 3/30-2/30 = 21/30 = 7/10
Les 3 premiers nombres premiers occupent 70 % de l'espace de l'axe M.
Les nombres p diviseurs, peuvent êtres vu comme un champs. Celui ci n'est pas directement actif sur l'axe M, mais est actif indirectement, parce qu'il indique le temps du cycle, et donc montre bien que chaque nombre premier contient son propre temps, mais cyclique et non linéaire comme la matrice ou iT.
Le rapport de proportion entre le rayon des cycles et leur densité, fait que tous les nombres 1ers sont égaux aux connexions entre eux et avec une différence ou écart maximal < 1. Ils évoluent donc tous en même temps autour de la matrice.
Comme ills ont un rayon différents, ils n'ont pas le même moment cyclique M et donc la même fréquence.
Le rayon des cycles des nombres premiers diviseurs est proportionnel à la fréquence de son moment cyclique sur l'axe M relevé en iT.
Pour connaître la position des p diviseurs lorsqu'ils ne sont pas au moment cyclique sur l'axe M, ils sont fractionnés, mais la fraction est toujours une part entière de 1. On obtient l'égalité suivante f = p/t ; ou f est la fraction, p pour premiers diviseur, M pour axe M.
exemple : le rayon de 2 est 2 ! donc, sa fraction au moment de t=1 est 1/2 = 0,5 et en opération inverse, 0,5*2 = 1. Pour 3 on a 1/3 = 0,333333n, mais on arrive toujours à 1 chaque 3 fractions, soit, 3*0,33333n* = 1. Et ainsi de suite pour tous les nombres premiers.
Mais on voit clairement que les multiples sont la preuve marquante de la progression simultané des nombres premiers sur la matrice.
Tous les nombres de E sont en fréquences les uns vis à vis des autres, mais dans le sens du plus éloigné vers le plus près de la matrice, axe de rotation des nombres de E. Autrement dit, 7 tourne relativement à 5 qui le précède, puis à 3, 2 et 1.
La fréquence entre 5 et 3 est de 5*3 = 15 uqr ; entre 5 et 2 de 5*2 = 10 et enfin, avec la matrice du temps t relevé sur iT, soit le nombre lui même 5.
Le nombre 2 de E, étant collé à la matrice, est le seul nombre dont la fréquence relativement à la matrice semble fixe. Mais c'est bien la fréquence 2 de la matrice.
Le nombre 3 de E est mobile par rapport à 2, mais reste fixe par rapport à la matrice. C'est la plus faible mobilité relative à 2. La fréquence entre 2 et 3 est égale à leur produit, soit 2*3 = 6.
Le nombre 5 de E est le deuxième nombre mobile de E et sa fréquence relative aux nombres qui le précède augmente en raison de son produit avec les nombres 2 et 3, soit 2*3*5 =30
D'une manière générale, la fréquence relative entre les nombres de E par rapport à la matrice est égale au produit du nombre avec les nombres de E qui le précède.
Cependant, le problème est qu'à l'intérieur de cette fréquence des nombres de E entre eux, s'insère les nouveaux nombres
Je ne fais que dire ce que vous savez déjà, mais en lui donnant un signifiant propre.
Les fractions représentent bien le champs "discret" des nombres premiers de E en rotation autour de la matrice, pointé par iT.
Tous les multiples de nombres premiers de E, peuvent s'écrire sous la forme d'une addition ne comportant qu'un seul des ses nombres premiers, exprimé en puissance.
Ex : 30 = 2xep4 + 2exp3 + 2exp2 + 2 ou 3exp3 + 3 ou 5exp2 + 5
ll y a beaucoup à en dire et beaucoup à déjà été dit sans connaître la genèse de nombres premiers diviseurs. Mais cela n'est pas ma compétence.
Pour ma part, je remarque encore et surtout, que E tend vers 1 de manière inexorable. De telle sorte par exemple que la conjecture de Goldbach doit trouver un point limite ou le nombre premier atteint une telle grandeur qu'il doit finir par ne plus pouvoir être... Moinssé par un autre nombre premier. Mais c'est l'infini de l'infini.
C'est donc avec un très grand intérêt que j'attends,les réactions des agoravoxiens.
PS : malgré les relectures que j'ai faites avant de publier cet article, j'ai conscience qu'il y a sans doute beaucoup d'imperfections. Celles ci sont dû à la compacité de l'article et à ma « vulgarité » en rapport au sujet traité. Les commentaires sont là pour corriger ces imperfections et aider à une rédaction claire basique. Toutefois, la base théorique et la démonstration sont, elles, faites.
grille des nombres premiers diviseurs de la droite E, à leur moment cyclique sur l'axe M, relevé par la droite iT
0 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 |
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |
2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | |||||||||||||||||
3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | ||||||||||||||||||||||
5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | ||||||||||||||||||||||||||
7 | 7 | 7 | 7 | ||||||||||||||||||||||||||||
11 | 1 | ||||||||||||||||||||||||||||||
13 | 26 | ||||||||||||||||||||||||||||||
17 | |||||||||||||||||||||||||||||||
23 | |||||||||||||||||||||||||||||||
29 | |||||||||||||||||||||||||||||||
Il apparaît très clairement dans le début de la grille des nombres premiers, qu'un nouveau nombre premier est crée chaque fois qu'aucun p premier précédent, ne boucle son cycle de rotation autour de l'axe formé par la matrice, au moment cyclique, relevé sur l'indicatrice iT.
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