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Le bateleur

Le bateleur

Né le 11 Octobre 1955 près du Rup de Mad (ruisseau Lorrain)
un peu de sang noir, teuton, saxon
premier de classe en cp, second en spé
le plus souvent cancre entre les deux
Très impressionné par le conflit du Biafra (? ... tant pis)
(ce doit être pour cette raison à maturation lente, que j’ai quitté Saint Cyr après un an)
Animateur de colo, directeur, manche dans la rue, pion, responsable d’un centre permanent informatique, développeur didacticiels, praticien de diverses méthodes de re-médiation cognitives,membre d’un groupe du ministère de l’EN concernant les nouvellles technologies, prof de maths, conseiller en formation d’adulte, dépot de quelques traces de pensées mortes dans divers recueils de poésie, lecteur de Daumal, Gurdjief, Dhotel et Jacotot
...
n’achève jamais rien, la preuve ... je suis encore vivant.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/03/2006
  • Modérateur depuis le 18/04/2006
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Derniers commentaires



  • Le bateleur Le bateleur 25 mars 2006 21:45

    Ces ... difficultés étaient pressenties depuis un certain nombre d’années

    D’où les pressions exercées sur ceux qui ne sont pas encore dans le système (les français par exemple) pour retarder les syptomes en abondant eux aussi aux fonds de pensions.

    Il faut rappeler que la bourse comme tout raccouci ne peut profiter réellement qu’aux premiers qui disposent de l’information les autres se retrouvent dans un bouchon ... ou un siphon.

    Luc Comeau-Montasse

    du fagot des Nombreux



  • Le bateleur Le bateleur 25 mars 2006 21:38

    Oui Il faut lire Blade Runner à l’envers,

    la place des cyborg n’est pas celle que l’on croit (sourire)



  • Le bateleur Le bateleur 25 mars 2006 20:04

    Oui, bien sur, la planification, et c’est heureux, n’était pas le seul mode de fonctionnement, notamment de Giscard.

    Cette vision sur le long terme était par ailleurs fortement en déclin déjà à cette époque.

    Iter et beaucoup d’autres projets sont ce que l’on nomme dans le langage de la gestion de projet : des objectifs outils (aucun résultat n’est réellement visé, pas d’horizon nouveau, pas de réel projet)

    Il s’agit principalement de permettre de continuer à fonctionner sur le modèle actuel même lorsqu’il n’y aura plus de pétrole

    parenthèse : Iter me fait beaucoup songer aux fameux avions renifleurs http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_avions_renifleurs

    Pas de réel projet ici donc mais plutôt une fuite en avant telle que décrite ici « Pourquoi le facteur clef, à l’origine de la destruction de ces empires, réside-t-il finalement toujours dans leur obstination à dépenser la dernière miette de ressource et de talent pour tenter de faire »fonctionner« un système intrinsèquement défectueux ? » (« Carl Friedrich Gauss » par Jonathan Tennebaum - Les bouquins fusion)

    Une petite remarque : de la même manière, depuis que les scientifiques sont collés à leurs outils informatiques dès les prémices de leurs recherches, c’est à dire depuis 50 ans, il ne trouvent plus rien de nouveau (plus de création, peu d’invention, plus que de l’innovation)

    Pour finir, la planification est un outil au service d’un projet d’ensemble cohérent et fort il est clair que dans le paysage actuel elle ne sert plus à rien.

    On pourrait en effet montrer que notre monde se nourrit davantage de ses cahots et de ses chaos que de ses réussites les trop bonnes récoltes ont des résultats négatifs, les accidents et guerres (voir actualité) sont générateurs de PIB.

    Luc Comeau-Montasse du fagot des Nombreux



  • Le bateleur Le bateleur 25 mars 2006 19:39

    La question d’une mauvaise gestion renvoie à l’aspect statique.

    Effectivement les états gèrent (on est actuellement gestionnaire d’exploitation agricole, et plus paysan)

    Pas de vision à long terme, pas de projet.

    L’Europe se contente de (Objectifs de Lisbonne) déclarer qu’elle veut être la meilleure dans ce qui se fait de mieux (les technologies de l’intelligence*) Quid de l’état des lieux, et de la volonté de ceux qui l’habitent ?

    Oui, nous sommes gérés.

    C’est d’ailleurs sur ce mode qu’un grand nombre de jeunes, eux aussi sans projet, conduisent leur vie : ils gèrent à vue.

    Nous devons tenter une rupture radicale avec le modèle machinal que nous avons fini par adopter à trop confier notre quotidien aux ingénieurs (de tous poils) et à leurs systèmes auto-régulateurs.

    Luc Comeau-Montasse

    du fagot des Nombreux

    * Je n’en ai personnellement jamais rencontré. Les anglo saxon ont bien raison de nommer « computeur » ce que le français a osé qualifier pompeusement « d’ordinateur » vocable qui n’a que peu de rapport avec les possibilités réelles de l’objet.

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