Faire taire les voix alternatives devient une coutume indispensable à la « bonne santé » des pseudo-démocraties, en particulier quand elles sont dépositaires et/ou témoins des secrets relatifs à leurs propres turpitudes.
En flinguant Kadhafi, on le fait taire en nous privant d’un procès retentissant qui nous aurait probablement appris bien des choses.
Idem plus tôt avec Ben Laden ... ou sa doublure.
Ce dont se préoccuperont maintenant les occidentaux, ce sera de veiller à maintenir une entente cordiale avec les « nouveaux dictateurs islamistes élus démocratiquement ».
La théocratie qui naîtra n’aura probablement rien à envier, à terme, au régime iranien ou plutôt à celui des saoudiens, qui ont compris que pour opprimer son peuple en toute tranquillité, il est bon de faire ami-ami avec tout le monde.
El la condition féminine, me direz-vous ? Mais que voulez-vous donc que les gouvernements occidentaux en aient à f.... ! Il y a des enjeux bien plus stratégiques et juteux que les grands principes afférents aux libertés individuelles.