La solution n’est pas d’attendre 2012. Les principaux prétendants à la présidentielle sont
d’accord pour revenir à un déficit de 3 % en 2013 et aucun ne défend ni le
refus de payer la dette, ni un plan radical pour prendre sur les profits. Ce sera donc l’austérité contre les services
publics et contre les classes populaires comme le font dès à présent les
gouvernements socialistes en Grèce ou dans l’État espagnol.
L’urgence est de prendre le mal à la racine, de remettre en cause radicalement le
remboursement de la dette et l’austérité. Seul le rapport de force construit
dans les luttes, dans les manifestations peuvent contraindre patrons et
gouvernement à reculer.........
http://2ccr.unblog.fr/2011/10/10/refusons-de-payer-leur-crise/