On a bien compris que dans ce pays on ne peut plus critiquer l’Islam, voyez de suite le tollé provoqué par Houellebecq dans un de ses romans où un personnage dit que « c’est la religion la plus con ». C’est tout de même une oeuvre de fiction.
Certains se couchent bien vite devant les protestations des barbus, continuons comme ça et on naitra tous avec un baillon sur la bouche puisque la liberté de critique et d’expression n’existera plus, on sera tous beaux en djellabah avec la barbe...