Dans Wired (Danger Room) et dans le Washington Post des experts démontent la thèse iranienne.
Le drone furtif s’est crashé, de l’aveu des iraniens eux-mêmes, il n’a pas été détecté par radar et il a été repeint par les iraniens. Il est aussi précisé que les données embarquées sont lourdement cryptées et non exploitables.
Ceci dit si les hackers iraniens étaient capables d’un tel exploit, ils ne perdraient pas leur temps avec un drone, ils attaqueraient les banques occidentales…