On sent comme une atmosphère , comment dire .... carnée dans les interventions des chevaliers de la rouge viande.
Moi qui ne suit pas (encore) végétarien, vais peut-être me laisser convaincre par l’argument parfois entendu de l’agressivité due à l’excès de consommation de protéines animales.
J’ai fais des progrès, je ne mange plus de protéine animale au repas de soir, pas par contrainte, mais par raison et solidarité. Manger c’est un acte politique comme n’importe quel acte de consommation, mais ça , c’est difficile à entendre pour certains qui manquent certainement de quelque chose pour lever un tel étendard face aux vents contraires.