Bonjour, Jean.
D’accord avec votre article : Hollande n’a évidemment pas voulu signifier que le PC n’existait plus, mais que ses militants n’avaient plus rien à voir avec ceux qui soutenaient Marchais.
J’ajoute, comme je l’ai déjà écrit hier, que Mélenchon a d’autant plus rapidement mis la sourdine qu’il a sans doute été rappelé à l’ordre par le PC qui constitue l’essentiel des forces du Front de Gauche. Un PC dont le nombre d’élus (3e parti de France) fondrait comme neige au soleil s’il y avait rupture avec le PS.
Cordialement.