« Dans le cas où la Grèce s’exfiltre de l’Euro, celle-ci découvrira que le bonheur est ailleurs. »
C’est une manière effectivement efficace d’augmenter la compétitivité par la dévaluation mais qui se traduira par une baisse du niveau de vie suite au renchérissement des biens de consommation importés que la Grèce ne produit pas (automobile, électronique, habillement,...).
La méthode actuelle qui est totalement équivalente en termes de résultats est de baisser les salaires.
La différence entre les deux c’est qu’on ne peut pas manifester contre l’augmentation des produits importés tandis qu’on peut le faire contre la baisse des salaires.