Il y a encore un autre angle de lecture : Certes la peine de mort est déjà abolie depuis lurette, mais dans les années trente, Georges Bataille avait risqué un texte sur le Président de la République comme envers exact du Bourreau, et cela de par le fameux « droit de grâce » justement - car c’était bien lui, le Président, qui au moment de « l’abattage final », disposait de ce seul et dernier veto... Mais de par cette sacrée prérogative, il se révélait finalement étroitement complice d’un droit de mort sur... tout un chacun, le tueur en chef quoi.