A la PJ, Garnier apporte des précisions connues des seuls enquêteurs et jamais publiées par la presse. Aucun doute pour les policiers, il est bien l’un des auteurs de la profanation. « Nous avons choisi, précise même Yannick Garnier, enfin soulagé de se confesser, la tombe de Félix Germon parce qu’elle était la plus facile, car elle n’avait pas de caveau. » Une confession exhaustive, qui livre les noms des complices : des amis d’enfance, dont certains figuraient même sur la liste des interpellés des premiers jours. Faute d’indices matériels précis, ils n’avaient pu être inquiétés. Seule l’empreinte d’une basket a pu être relevée dans le cimetière.
Ce mercredi, à l’heure du laitier, le coup de filet de la PJ surprend, près d’Avignon, l’ami de classe de Garnier, Bertrand Nouveau, et son épouse, et, à Perpignan, Patrick Laonegro, 30 ans, et sa femme. Les deux jeunes femmes, mises dans la confidence, n’ont pas pris part à ce raid macabre, découvert un certain 10 mai 1990, neuf ans jour pour jour après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République. Un quatrième comparse, chef supposé de l’équipée, est décédé depuis lors dans un accident de moto.
Goldnadel vient donc de MENTIR sur le sujet : à Carpentras, ce sont bien des néo-nazis skinheads et un soldat qui ont été condamnés !
pourquoi vient-il aujourd’hui affirmer le contraire ? Que cherche-t-il en faisant ça ?