"Il était dans
le collimateur de la DCRI (la Direction centrale du renseignement
intérieur), comme d’autres, depuis les deux premiers attentats"
de Montauban
et Toulouse ayant visé des militaires. "La
police judiciaire a alors apporté un élément très précieux qui a
boosté l’enquête", a indiqué la même source
proche de l’enquête.
Pourquoi l’ont-il laissé
agir ?
Pourquoi n’ont-ils pas mis
en place « vigipirate » depuis le premier meurtre ?