Merde, il y en a des personnes COMPLETTEMENT NUL :
Le coût réel de l’immigration en France. 14ème étude publiée par Contribuables Associés réalisée par Jean-Paul Gourévitch,expert international en ressources humaines, spécialiste des migrations.
L’immigration, combien ça coûte ? Ce thème est si lourd d’enjeux politiques que le seul fait de poser la question dérange ou provoque.
Au bout du compte, ce sont pourtant les contribuables qui financent les migrations. Il est donc souhaitable, pour se faire une opinion sur le bien-fondé des politiques conduites dans ce domaine, d’en identifier et d’en évaluer les paramètres financiers
C’est à cet exercice que s’est livré, avec un souci de l’exactitude exempt de tout a priori idéologique, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines. Dans l’étude (2008), il compare les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros), soit un solde négatif de plus de 26 milliards. Enfin, il évalue les investissements engagés par l’Etat pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés et de leurs enfants (10,81 milliards d’euros).
Yves-Marie Laulan, économiste et président de l’Institut de géopolitique des populations, estime le coût annuel de l’immigration en France à 36 milliards d’euros (soit l’équivalent de 80 % du déficit public annuel). Son étude, qui prend en compte le différentiel entre les recettes et les dépenses apportées par les immigrés s’appuie notamment sur les travaux des professeurs d’économie Jacques Bichot et Gérard Lafay avec comme données principales les dépenses en maintien de l’ordre, de la justice, frais de scolarité, de santé, formation professionnelle, logement, coûts supplémentaires dans les quartiers dits « sensibles », les aides sociales diverses ou le regroupement familial.
Selon une autre étude de Jacques Bichot pour l’Institut Thomas More, ce coût serait d’au moins 24 milliards d’euros pour l’année 2005
Dans une étude intitulée Le coût de la politique migratoire de la France, publiée en 2010 par l’association des Contribuables associés, Jean-Paul Gourévitch soutient que l’immigration a rapporté à l’État français 49 milliards d’euros de recettes. Mais que dans le même temps, les dépenses de l’État concernant l’immigration se sont élevées à 79,4 milliards d’euros. Au total, l’immigration aurait donc engendré un solde négatif de 30,4 milliards d’euros.
Ces calculs rejoignent en partie ceux plus anciens de Maurice Allais, « prix Nobel » d’économie 1988. Celui-ci a calculé que, lorsqu’un travailleur immigré entre dans un pays, il faut consacrer une épargne quatre fois supérieure à son salaire annuel pour construire les équipements (école, logement, hôpital...) dont il a besoin, charge relevant en France de la collectivité.