Oui, oui, bon article en ce sens qu’il fait un bon état de la situation.
Mais, il y a un mais : la conclusion « yes, we have to be dangerous » est-elle autre chose qu’une pirouette ?
Avons-nous encore le temps de jouer à ce jeu là ? Je ne le crois pas.
La lucidité à laquelle nous accèdons (et qu’Agoravox alimente fort heureusement) ne pourrait-elle déboucher sur des formes d’action stratégique (visant la réussite et pas seulement l’agitation) plutôt que se limiter à des incantations appelant à l’indignation, l’insurrection, la révolution et je ne sais quoi encore ?