La différence entre « avant » et « maintenant » c’est que les « artistes » ont des conseillers financiers et des managers qui leur font mettre l’argent qu’ils gagnent à l’abri dans des banques suisses, ou dans l’immobilier (dans les iles), pour ne pas faire comme certains de leurs aînés, tout aussi talentueux, mais qui sont morts démunis...
Cet argent fait peut-être travailler des gens comme dit Hélène Ségara, mais combien d’intermittents du spectacle sont au chômage ? N’oublions pas non plus les maisons de disques et les radios qui refusent de donner leur chance à de nombreux jeunes artistes qui mériteraient d’être connus mais qui manquent encore de notoriété, à l’ombre des « vedettes » !