Lorsqu’elle a été dégradée par S&P en janvier 2012, l’Autriche a réagi en indiquant qu’elle allait à présent s’organiser pour ne plus être dépendante des marchés.
Evidemment ça parait absurde. C’est tellement plus simple de critiquer les « marchés » pour ensuite leur demander une rallonge...