Extraits du rapport de décembre
2011 du rapporteur spécial de l’ONU sur la
liberté de religion ou de conviction : « Les préoccupations à l’égard de (...)
pratiques concernent souvent de petites communautés parfois qualifiées
péjorativement de « sectes » (...) Même s’il est incontestable que des pratiques
néfastes sont mises en œuvre au nom de religions ou de convictions, il serait
inacceptable d’imputer simplement ces problèmes à certaines communautés ou
certains types particuliers de communautés, comme de petits groupes ou de
nouveaux mouvements religieux. Les allégations de pratiques néfastes doivent
toujours être fondées sur des faits empiriques précis et ne devraient pas
exprimer de simples conjectures ou projections négatives, qui ne font souvent
que refléter des stéréotypes et préjugés existants. »