Le problème, à partir d’un certain âge, c’est qu’on vit dans le passé, avec des références surannées, des certitudes anachroniques, sans plus être capable de tenir compte de la réalité. Sans compter que les facultés intellectuelles ne sont plus ce qu’elles étaient. Tenez, prenez Stéphane Hessel. Quelle pitié...
C’est ainsi que les vieux s’imaginent que ce qu’on appelle aujourd’hui la gauche a encore un rapport avec Gambetta, Clémenceau ou Jaurès. C’est bien triste.