Tout cela me parait d’un autre age. Tous ces gens nostalgiques de la lutte des classes et du combat gauche droite ne voient pas (mais peut-être ne veulent-ils pas voir) que les lignes de front se sont déplacées. Nous devons décider, en tant que peuple, si nous acceptons le fédéralisme européen vers lequel nous poussent les lobbies financiers et industriels, ou si nous voulons conserver notre souveraineté. Je crois sincèrement que notre ami Mélenchon se trompe d’adversaire.