Pour apporter une note positive dans cet article assez désespéré, je dirai que le tourisme sexuel dans un pays pauvre reste une bonne soulution,et qu’il n’y a aucune raison d’en avoir honte : vous apporterez ainsi une aide concrète à une famille, et contrairement à un chèque que vous enverriez à une association humanitaire, vous aurez la certitude que cet argent ne sera pas détourné (certitude inverse dans l’autre option)
Sur place, la solution raisonnable
serait de fréquenter de temps en temps la maison close locale, mais
évidemment, elle cherchera à se mettre en ménage avec vous :
faites au moins l’effort d’apprendre sa langue ou de lui donner des
cours de français ou d’anglais...
Mais un conseil absolument formel, pour
en avoir fait la très amère expérience : en aucun cas, il ne faut
l’épouser et la ramener en France : elle y rencontrera très vite
des compatriotes qui lui expliqueront les ficelles du système et
vous vous retrouverez pris dans un imbroglio juridique infernal de
pension alimentaire et de « prestation compensatoire » !