A-t-elle oublié que si les enfants du Niger « vont deux heures par jour
à l’école, partageant une chaise pour trois » c’est parce que ils sont
parmi les premières victimes des plans d’ajustements structurels imposés
par le FMI en Afrique.
Sa soudaine compassion pour les enfants d’une Afrique martyrisée par le FMI est celle du tigre devant la chèvre.