Ingénieur et économiste de formation, je suis allé pour le plaisir, en auditeur libre en fac de lettres à 45 ans.
J’ai été épouvanté par le niveau des jeunes étudiants (les meilleurs – y compris en littérature française – étaient les étrangers : américains, brésiliens, polonais).
A tel point que sur les rares contrôles auxquels j’ai participé j’avais en général la meilleure note. Question de génération ou de motivation peut-être, dans les deux cas c’est un constat assez navrant.