Les études du CIPR sur les victimes de Hiroshima et Nagasaki ont montré qu’il n’y avait pas augmentation du risque statistiquement significatif de cancers pour des doses aux organes inférieures à 100 mSv. Et vous, vous parlez de la fin du Japon pour 5 mSV... Vous êtes un comique.
Vous exposez :«
Ce n’est pas une nouveauté, et le 12 avril dernier on se souvient que le système de refroidissement avait déjà connu une défaillance (lien) faisant monter la température à plus de 55°C ». Sauf que la température au niveau de ce réacteur a toujours oscillé autour de 50°. Si on reprend les relevés de températures sur les 6 derniers mois, on ne constate absolument pas de hausse significative aux alentours du 12 avril et après (cf chiffres sur 6 mois au format CSV :
http://www.tepco.co.jp/en/nu/fukushima-np/index-e.html#anchor04 ).
En plus, votre article est bourré de si. Et si, et si, et si. Pourquoi ne pas avoir pris en compte le risque qu’un astéroïde de 1km s’écrase directement sur la centrale ?