A l’écoute de l’évolution des discours de Mélenchon, j’ai aujourd’hui l« amere sentiment d’une stratégie marketing.
On attire le chaland avec un dicours consensuel, puis petit a petit, l’attention fixée sur le premier message on introduit lentement a la masse captive le message définitif.
Petit soldat ? c »est certain aujourd’hui compte tenu de sa déception, oh ne révez pas pas parcequ’il n’a pas réussi a terrasser la bete, mais justement de ne pas y etre arrivé (ce qui semble identique mais en fait est tres différent)
Pour preuve, si vicéralement l’objectif avait été de vaincre la « bete » le discours de fin de campagne eut été bien différent, genre’ je reviendrais, vous entendrez parler de nous etc...’
Or la nenni juste un ’personne ne m’a appelé...." comme voulant dire ’elle est ou ma prime ?’
J’ai c’est vrai, eu une pensée émue pour les ’gogos’ avec leurs petits fanions, sorte de godmichet pour cocu,
Comme l’émotion qui m’étreint a voir des braves gens embrasser les calicots syndicalistes alors que leur entreprise délocalise, fustigeant un patron partant avec la caisse et de confortanles émoluements, sans que personne ne leur dit que cette prime est en fait bien gagnée....Puisque l’objectif est atteint et que ce patron n’était pas la pour eux.
Mais c’a c’est pas aux syndicats de l’expliquer puisqu’ils sont la pour les défendre.....