Ouais.
Je sais pas pourquoi la disparition de ce mec m’a touché.
Peut-être parce qu’il était l’un des derniers hommes libres dans les médias, de ceux à qui l’on accorde le pardon facilement pour leurs excès, parce qu’un peu beauf, parce que proche de ceux que l’on rencontre au café du coin.
Je n’aime pas le foot.
J’aime les gens simples, vrais, honnêtes.
Il me paraissait tel.
Merci, Sandro, de cette si juste évocation.