Désinformation par omission sur les méfaits des immigrés qui remplissent les colonnes des faits divers quotidiens
Quand va-t-on comprendre qu’il y a beaucoup d’immigrés en France ? Que les issus de l’immigration ’néofrançais’ ne s’intègrent plus depuis les années 90 ? que nous n’avons plus d’emplois, plus de logements, des budgets à la baisse et une dette qui nous demandera un siècle d’effort pour la rembourser ? A qui cela peut bien bénéficier que d’avoir ce flux continue d’étrangers du tiers monde en situation irrégulière et régulière ? qu’est-ce que cette nouvelle mentalité qui consiste à mentir sur les problèmes que cause ces étrangers ?
Il
aura fallu plus de 48 heures pour que la « grande presse », comme on
dit, fasse allusion à ce qu’on pouvait lire partout sur Internet : le
jeune garçon de 16 ans qui a tué Kylian, 13 ans, dans un collège de
Rennes, est le « fils de réfugiés politiques tchétchènes ». Il est
musulman.
Les journalistes – du moins l’immense majorité d’entre
eux – ont donc préféré passer sous silence ce « détail ». Pour le
présenter, Le Monde a choisi, expliquant que « [son] prénom a été
changé », de le rebaptiser Vladimir… à consonance russe mais, c’est
l’essentiel, pas musulmane. Il ne s’agirait pas d’alimenter
« l’islamophobie ». Du coup, c’est exactement l’inverse qui se produit.
Aujourd’hui, lors de chaque fait divers, quand l’identité de l’agresseur n’est pas divulguée,
on ne peut s’empêcher de s’interroger : nous la cacherait-on
volontairement ? Comme si nous étions des imbéciles, des bêtes
mal-pensantes que ces bons journalistes auraient pour devoir de
rééduquer. Comme si ce genre de désinformation par omission pouvait
avoir raison des faits eux-mêmes.
Une dernière information, elle
aussi à peine évoquée dans la presse : ce jeune homme de 16 ans, qui a
étranglé un gamin de trois ans son cadet, « jouait de sa stature
athlétique pour en imposer aux autres collégiens ». Comme cela est dit
pudiquement… Il avait été interpellé par la police, il y a deux mois,
pour un vol de bicyclette. Mais, je vous rassure, « les suites
judiciaires avaient été bénignes » s’empresse-t-on de nous préciser.
Ah
oui, j’oubliais. Toute la journée de dimanche, des jeunes de la
communauté tchétchène de Rennes se sont regroupés devant la cité
judiciaire, attendant la décision des magistrats. « Par solidarité avec
notre ami » a expliqué l’un d’entre eux. Par solidarité…