Intervenant avant le chef
de l’État, Serge Klarsfeld, président de l’association des Fils et filles des
déportés juifs de France, a souligné que « si 11.000 enfants juifs ont été
déportés » de France pendant la Deuxième Guerre mondiale, « 60.000 furent sauvés
par la population française, qui, dans son ensemble, mérite d’être qualifiée de
juste ».
Si le peuple français n’a
pas commis ce crime, alors pourquoi la déclaration du président français. « Ce
crime fut commis en France, par la France ». ?
Pourquoi vouloir occulter
que c’est le gouvernement Laval
qui est le véritable responsable, pour la partie française, de ce crime ?
Peut-être
parce que les membres du gouvernement Laval n’étaient même pas des antisémites,
mais de banals hommes politiques qui par pur carriérisme ont tout misé sur la
collaboration avec les nazis ; avec les moyens que l’on connait : le
mensonge, la propagande, etc.
Voilà où se trouve donc mon
devoir de mémoire : en 1940-45 des hommes pour asseoir leur carrière
politique ont commis un tel crime.
Autre devoir de
mémoire : en 2011, un sot, armé de son téléphone portable et suivi par ses
caméras a préparé une guerre pour pouvoir monter son film.