Bové aime bien se poser en victime, mais quand les choses deviennent sérieuses, il protège ses arrières et rentre sa queue bien au chaud. Après une de ses condamnations à de la prison ferme, au lieu de purger sa peine et de devenir ainsi un « martyr » de sa cause, il n’hésite pas à demander en catimini sa grâce auprès de Chirac.
Il dit se battre pour les autres, mais ce qu’il aime faire, c’est les amener à penser comme lui avant tout. La critique, il n’aime pas. Il a toujours raison, vous avez toujours tort. Une pensée typiquement binaire, à la Mélenchon.
Ils devraient bien s’entendre à mon avis...