Bonjour Monsieur Hum

L’auteur en question car c’est de moi dont il s’agit, travaille depuis deux ans au Cambodge.

Mon « guide du routard du sexe » comme vous l’avancez se limite essentiellement à la capitale, je parle aussi un petit peu de textile il me semble.

Fréquenter de tels lieux : Il est vrai que je pourrais me contenter de visiter temples et pagodes, m’extasier devant une nature de cartes postales, mais comme je le précise dans l’article il est impossible de ne pas avoir de « connections » avec ce monde là. Pour exemple, n’étant pas arrivé depuis 5 minutes à l’aéroport, le chauffeur de tuk tuk me proposait déjà des filles, une demie-heure après c’était le manager de l’hôtel qui me proposait la même chose.
J’en suis arrivé à croire durant un moment que tous les hommes célibataires ou seuls, la cinquantaine, venaient dans ce pays pour satisfaire des pulsions sexuelles où appelait ça comme vous voulez.
A noter qu’une femme seule dans ce pays, une femme occidentale, n’est pas du tout sollicitée de la même manière
Etait ce bien utile au fond ?
Pour moi oui.
La cause en est sûrement des réactions émotionnelles, une incompréhension, un sentiment d’injustice contre lequel vous ne pouvez rien.
Je sais que cela ne changera rien à cet état de fait.
De quel droit même, je m’autorise à porter des jugements de valeurs sur la conduite de tels ou tels. est-ce que je possède compétence et impartialité pour le faire ?
Je témoigne de ce que j’ai vu, vécu, j’ai omis dans l’article la surenchère à l’inaceptable. Au Cambodge il est difficile de rester objectif. Alors j’ai choisi mon camp. Et si vous avez bien lu ce que j’ai écris ça n’est pas le camp de ceux qui exploitent.

J’ai une connexion internet totalement délirante, c’est pourquoi parfois je suis « absent », j’ai voulu vous répondre car je me suis posé la même question :
A quoi cela sert-il ?

Passez une bonne journée Hervé
Bruno Rey