De toute façon, quelle liberté avons-nous, de la naissance à la mort ? Notre corps ne nous appartient pas (il appartient à l’État), on reçoit un nom et un prénom sans qu’on ne nous demande notre avis et, selon l’État dans lequel on naît, on nous impose une religion, une langue, une façon de vivre, etc. Nous sommes conditionnés.
Je ne suis pas sûr que la « démocratie » (ou cratie [pouvoir] des mots) soit une solution par l’égalité (fictive) de tous devant la Loi. Seule reste l’individuation, ou prise de conscience personnelle. Mais ça, c’est une autre histoire.