J’y suis allé une fois,
j’ai apprécié une forme d’esthétisme du danger, compris l’engouement de certains,
mais développé au fur et à mesure des prestations un écœurement face aux mises
à mort précédées des affres de la bête saignée. Comme un trop plein de
barbaque. Cabrel s’était mis à la place du taureau, j’ai tenté un texte pouvant
être revendiqué par les deux ennemis mortels : /pamphletaire.blogspot.fr/2011/04/notre-guerriere-danse.html"> »A notre guerrière danse" (avril
2011)