« Qu’attendre d’un pays dans lequel 99% des politiques, des journalistes et des penseurs sont incapables d’appeler le prophète Mouhammad par son prénom. »
Désolé, mais on l’appelle comme on veut. Parce que nous sommes chez nous, et que chez nous, on l’appelle comme ça depuis des siècles (Voltaire a écrit « Mahomet ou le fanatisme » en 1736, j’espère que personne, à part les bobos collabos, ne cédera à votre tentative d’ukase sémantique.
J’ajoute, comme l’a précisé un dimanche après-midi, Daniela Santanché, une ancienne secrétaire d’Etat italienne, et parce que nous sommes chez nous où nos valeurs priment, que nous continuerons à penser et à dire qu’un homme qui a plusieurs épouses dont une de neuf ans, est un polygame et un pédophile !