C’est pourtant vrai et cette servitude était même encadré juridiquement par le statut de Dhimmi qui établissait les droits et les devoirs d’une population après qu’elle fût soumise militairement par les Arabes.
Le Dhimmi devait payer deux impôts (capitation et foncier), était libre de pratiquer son culte mais interdit de faire du prosélytisme ni de bâtir de nouveaux édifices religieux, ses droits juridiques étaient limités.
En échange de cette soumission, car c’est en bien une il me semble, il lui était garantit la protection pour sa personne et ses biens.