L’Univers est éternel et cyclique. Il a toujours existé et existera toujours. La création ex nihilo n’a aucun sens car rien ne naît du Néant lequel
n’existe pas lui-même. L’hypothèse d’un « Big Bang » est crédible (je ne
remets pas en cause le fond diffus cosmologique, l’expansion
« universelle », etc) à condition qu’il s’agisse d’un évènement « local » relatif à notre Cosmos (s’avérant peut-être le résidu d’un « Big Crunch » et ainsi de suite... univers ekpyrotique).
Deux notions à ne pas confondre : l’Univers (l’Ensemble de tous les Ensembles,
l’Ensemble de tout ce qui existe) et le Cosmos, notre portion
dimensionnelle/densité vibratoire, qui s’étend d’ailleurs au-delà de « l’univers observable ».
C’est l’Univers qui est éternel (ou Multivers). Les
sous-ensembles (fractions écloses du Multivers) comme notre Cosmos
évoluent au gré de lois ou algorithmes spécifiques. Mais au final c’est
un Tout indissociable. Le Big Bang (et tout ce qui en découle)
correspond à notre Cosmos et non à l’Univers/au Multivers. Et il ne peut y avoir - comme je le lis parfois - « plusieurs univers » puisque l’Univers est l’Ensemble de tout ce qui existe... ou alors « plusieurs cosmos » cela conviendrait mieux.
Par ailleurs l’expansion au sein de l’Univers observable peut faire
penser à la formation d’un trou noir géant (via une ligne de temps
inversée), avec pour point commun une singularité (?) en début de course
dans un cas et en fin de course dans l’autre cas. Nous évoluerions
(dans notre portion/région universelle) au sein d’un processus inverse
caractérisant le trou noir.
Il est également nécessaire de prendre en compte le fait qu’il puisse
exister d’autres densités vibratoires en-deça ou au-delà de nos
dimensions familières (pour l’exemple des densités ou la notion
d’espace-temps n’a plus aucun sens). De la même manière qu’il existe des
ondes en-deça du rouge et au-delà du violet, ondes qui ont été
découvertes assez tard en se référant à l’Histoire. Notre « vision » ou
« perception » de l’Univers n’est certainement pas la référence absolue,
tout juste un échantillon dans la matrice globale.
Ensuite une chose qui est certaine est que quelles que soient les
échelles ou interactions, quels que soient les phénomènes nanoscopiques
ou macroscopiques, la seule et unique « chose » qui existe au-delà de
toute interprétation, c’est l’information. Tout le reste dépend du référentiel.