Quand les Algériens auront lavé les infamies de la « deuxième guerre d’Algérie » (celle de 1990), on pourra parler de la première.
Et là je pense qu’on va pouvoir attendre longtemps, parce qu’ils sont pitoyables de chez pitoyables pour faire leur devoir de mémoire entre « frères » algériens.
Et ça y va de l’amnistie générale et des cadavres égorgés qu’on cache dans les placards, des morts qu’on « n’arrive pas à retrouver ». 100 000 morts ou + en quelques années...
A se demander s’ils n’utilisent pas la France pour détourner le regard de l’énorme caca qui leur reste collé au cul.